Patron voyou !

juin 4, 2007 on 7:17 | In France | Commentaires fermés

Il était une fois un chef d’entreprise qui à sa prise de fonction des primes de plusieurs centaines de milliers d’Euro s’octroya.

Par la préservation des créneaux horaires, la compagnie nationale aussi il protégea.

L’argent confié pour l’entreprise de sa destination il détourna,

et pour sa femme beau bijou, avec l’argent de l’entreprise il acheta.

Comme pilote, son ami Asseline, licencié par Air France, il embaucha,

Celui là même qu’en Alsace un Airbus A320 d’Air France écrasa…

Avec tout cela, que croyez vous qu’il arriva ?

Le pilotage de l’entreprise dont il avait la charge par un crash se termina !

Malgré les deniers publics qu’un sinistre ami lui accordât,

3.000 personnes au chômage par son échec il envoya.

Le sinistre, dans sa superbe, se drapa,

que c’était la preuve de la corruption du système capitaliste à la télévision il affirma.

Le gouvernement, pour services rendus (!!), de la Légion d’honneur, le sinistre décora.

Pensez vous que devant tel gâchis contre ces forbans la presse se déchaina ?

Que de quolibets, et autres noms d’oiseaux, elle les insultât ?

Que nenni, car ils étaient hommes des syndicats…

et de la prison, jusqu’à ce jour, la justice les épargna.

Aujourd’hui s’ouvre le procès de Jean-Charles Corbet, ancien pilote d’Air France, patron du puissant SNPL ou syndicat national des pilotes de ligne, mis en examen pour avoir confondu sa poche personnelle avec celle d’Air Liberté avec la complicité active de Jean-Claude Gayssot, alors sinistre des Transports, et probable d’un Hollandais voleur, Erik de Vlieger.

A ce procès, ni Jean-Claude Gayssot, ni Jean-Cyril Spinetta, Président d’Air France, qui a bien profité d’Air Lib pour protéger le transfert de créneaux horaires vers des concurrents autrement plus redoutés comme easyJet, ne sont appelés à témoigner. Comprenne qui pourra..

Gaspillage de dizaines de millions du contribuable mis à part, JusMurmurandi rend hommage aux milliers de salariés qui se sont trouvés embarqués dans cette aventure et perdirent leur emploi, le tout « à l’insu de leur plein gré ».

Au titre de patron voyou, Jean-Charles Corbet est un candidat de haut vol….